Bonjour,

Je suis Guy CREQUIE, écrivain et chanteur et messager de culture de la paix de l’UNESCO ( Manifeste 2000 ), membre individuel de la fédération française des clubs UNESCO, et en 2016, des personnalité nationale et internationale dont un récipiendaire du prix Nobel et un lauréat de ce prix en 2009 exemple joint m’ont proposé pour le prix mondial de l’UNESCO de la tolérance et de la non- violence 2016 lequel, fut attribué au centre de tolérance de la fédération de Russie.

A l'attention de Mme Golda El Khoud

Secrétaire du prix Madanjeet Singh prix mondial de l’UNESCO de la non-violence et de la tolérance

Chère Madame,

C'est avec une joie profonde que je recommande la candidature de Mr Guy Crequie au prix Madanjeet Singh.

Sa vie a été consacrée à la pensée et à la musique dans une perspective de rapprocher les êtres humains entre eux et d'aider à une compréhension mutuelle des civilisations et des religions.

Sa connaissance approfondie de l'histoire du Moyen Orient et de l'Islam a été mise au service de l'entente entre peuples dans une situations de tensions profondes.

Sa participations aux mouvements et aux initiatives de paix est impressionnante.

Son amour de la musique l'a rapproché de nombreux publics, ce qui lui a permis de donner toujours un message de paix.

Sa pensée philosophique a été mise au service de la tolérance.

Pour toutes ces raisons, en tant que titulaire du prix Madanjeet Singh 2009, je me permets de recommander très sincèrement sa candidature.

Ce n'est que très récemment que j'ai appris le décès de Mr Madanjeet Sigh et cela m'a fait une grande peine.

Veuillez dire à son épouse que je participe à sa douleur. Sa mémoire reste vivante et le prix qu'il a institué porte des fruits de paix et de réconciliation universelle.

Je vous prie, chère Madame, de croire à mes sentiments les meilleurs.

François Houtart

Profesor en el Instituto de Altos Estudios Nacionales (I.A.E.N.)

Tel: (593) (2) 382 99 00 Ext 272

Fundación Pueblo Indio del Ecuador

Calle Ruiz de Castilla N 26-92 y Sosaya - 170520 - Quito ECUADOR

Tel. (593) (2) 32.12.100 Cel. (593) 9.69.55.06.40

Rue Kelle, 192/6 - B-1150 Bruxelles

Tel. (32) 476.31.50.53

François HOUTART


Au sein de mon ouvrage « Itinéraire d’un ancien dirigeant syndical devenu « Messager de la paix » Vous trouverez des appréciations nationale et internationale relatives à mon engagement.

Je suis également entre autres, lauréat de l’Académie Européenne des arts en 2002, Docteur Honoris Causa de l’Académie mondiale de la culture et des arts et du congrès mondial des poètes depuis 2001, membre de l’Association internationale des auteurs et artistes, et représentant français d’ONG internationales de paix et d’harmonie.

Vous trouverez ... ci-dessous = quelques informations le concernant.

A propos de mon 32 ème et ultime ouvrage qui sera autobiographique, inédit : mon parcours et ses péripéties = de quasi aveugle au syndicalisme, du dialogue avec les représentants des grandes religions universelles à la formation d’enseignants, du Doctorat Honoris Causa à la paix et aux chant, en me rendant dans de multiples lieux de par le monde... !


Mesdames, Messieurs, bonjour,

...mon 32e ouvrage qui est autobiographique sous le titre « Itinéraire d’un ancien dirigeant syndical devenu « Messager de la paix » ».

... Cet ouvrage a été rédigé à Bandol durant l’été 2018.

J’ai été accueilli avec convivialité dans cette ville par les responsables du cercle des auteurs bandolais. C’est pourquoi, par reconnaissance, j’ai demandé à Jean-Marie SCHNEIDER, le Président du C.A.B. alors, s’il accepterait d’en rédiger la préface ce qu’il a accepté spontanément.

Mon épouse et moi-même, sommes ravis de partager quelques mois dans l’année à Bandol : ville, où nous apprécions le bien vivre et la beauté des sites.

C’est pourquoi, pour rendre hommage à cette magnifique cité lors de la parution du livre et sa publicité et promotion qui sont déjà en cours de préparation, je vais y joindre une note de présentation rapide de la ville, son histoire, ses activités et ses habitants.

Jean-Marie SCHNEIDER, m’a apporté la précision de ses connaissances historiques au sein de cette note ce dont je le remercie vivement. Vous trouverez, ci-dessous, cette présentation.


PRÉFACE complète à l’ouvrage « Itinéraire d’un ancien dirigeant syndical devenu « Messager de la paix »»

Soyons clair : Guy est un ami de quelques années, tout au plus. Mais en amitié le temps peut être rapide ou lent… Oserais-je donc dire que j’ai le sentiment de connaître Guy depuis toujours.

Lors de son arrivée à Bandol, il a immédiatement souhaité rejoindre notre association littéraire qui met en exergue nos auteur(e)s locaux et régionaux si souvent délaissé(e)s.

Nous l’avons accueilli à bras ouverts sans vraiment connaître la trempe morale, intellectuelle et la grandeur d’âme de l’individu. Il a très vite conquis nos adhérents par son humanisme chaleureux, ses remarques philosophiques bien senties et toujours à propos, ses commentaires clairvoyants sur l’actualité, ses avatars et déconvenues face à certaines institutions ou appareils politiques dans le cadre de la culture en général et de la littérature en particulier (déceptions qui rejoignaient les nôtres), enfin par son attachement constant, inaltérable et pérenne à la paix dans le monde.

Le temps s’est un peu écoulé et il ne s’est jamais départi d’une franche bonne humeur… de bon aloi pour nous méditerranéens ; ni de nous gratifier, de temps à autre, aux cours de rencontres littéraires, d’airs lyriques ou de mélodies célèbres avec sa magnifique voix de baryton.

Nous ignorions tous que Guy avait accompli sa « légende personnelle » comme l’écrit Paulo Coelho… qui est d’ailleurs messager de la Paix des Nations Unies.

Au cours d’un de nos échanges - nous étions aux abords de la baie de Renécros de Bandol - Guy me confie : « je crois avoir tout écrit… ». « Que diable, lui ai-je répondu, écris-nous ta vie ! »

Et il en fut ainsi.

Guy écrit donc là son 32ème ouvrage. Difficile de rédiger la préface de ce texte autobiographique - qui semble conclure un parcours exceptionnel - sans emprunter des sentiers battus. D’autant que ces « avant-propos » ont toujours été écrits par des mains de maîtres : Yves Lopez, Ernesto Kahan, Jacques Bruyas, Claude Viélix, Ashok T Chakravarthy, Maurus Young, Jean Étèvenaux, Jean-Paul de Bernis… etc.

Peut-être faut-il alors simplement chercher comment « l’homme » a tracé le sillon - le sentier - de sa vie et a inscrit son histoire personnelle dans l’Histoire tout court.

Ainsi en écrivant ces lignes je ne peux m’empêcher à l’expression « Qualitas » de Cicéron qui signifie avant tout une manière d’être, qui « fait ce qu’on est » privilégiant l’être sur l’avoir. Guy, expert en dialectique, philosopherait mieux que moi sur ce sujet…

Mais le terme me parait tout à fait approprié à son cursus de vie.

Alors que Guy est « petit d’homme », l’influence de son père (Achille) « sportif mais bagarreur » orientera sans nul doute ses choix futurs pour la non-violence, ses options politiques, l’engagement collectif dans le syndicalisme et de préférer les débats d’idées aux contacts physiques. Ainsi le père est l’exemple… dont on s’éloigne et se démarque au fil du temps. Quant à la mère (Armanda), malgré « son peu de scolarité » elle lui apportera tout son amour pour traverser son difficile handicap visuel… ce qui vérifie l’adage qu’il n’est pas nécessaire d’être cultivé pour aimer, surtout pour une mère !

Achille parce qu’il a une voix de baryton « comme la lumière » et Armanda passionnée d’opéra et de musique classique vont imprimer durablement la mémoire sensorielle de Guy.

Ainsi les entrelacs permanents entre les logiques de l’héritage génétique et les acquis sibyllins de l’inconscient vont conduire Guy à ouvrir sa propre voie et bâtir son destin personnel.

Cheminement non sans questionnements, doutes et ses corollaires… les déceptions.

Guy adhère à la CGT et au PCF par conviction. Devenu un « jeune » dirigeant syndical « en un jour », probablement trop candide, certains de ses voyages le perturbent : À 25 ans, la Tchécoslovaquie ; à 27 ans, en RDA, Bulgarie, Roumanie ; à 28 ans, en Espagne franquiste… Il nous parle ensuite de l’espoir vite déçu de 1981 suivi en 1984 d’un « incident » avec les responsables cégétistes sur lequel il reste muet (pour éviter toute polémique) mais qui lui fait vraisemblablement rater son entrée à l’ENA et tout espoir d’obtenir une « haute fonction publique » ! Peu importe ! Il persévère et réussit brillamment son cursus universitaire.

Communiste atypique dans sa démarche « spirituelle » il est conscient des contradictions de son propre parti qu’il quittera finalement dans la « douleur » en 1987 après « un effort intense de lucidité » de 3 années.

Ses activités professionnelles font de lui un « être polymorphe » (ou protéiforme) dans le sens noble du terme. Recruté en 1964 au sein des IEG (industries électriques, nucléaires et gazières) il y revient -après sa longue « traversée » syndicale - en 1985 comme consultant en ressources humaines où il doit gérer ses « différences », d’abord son profil humaniste poétique et philosophique, ensuite son récent passé de cégétiste. Il est détaché à temps partiel à la FERS (Fondation Entreprise et Réussite Scolaire) et de 1991 à 2002 il aura formé 350 enseignant(e)s de l’agglomération lyonnaise sur des problématiques de société et en particulier de violences urbaines. Et il ne pouvait en être autrement ! Guy a toutes les qualités requises pour transmettre : il est vrai, authentique de par ses expériences ; il fait preuve de congruence, d’empathie ; il sait donner confiance, valoriser l’autre. Ceci se mesure à l’aune du bilan établi par la Fondation.

Guy écrit son premier livre en 1981. L’ouvrage est présenté par Bernard Pivot en 1982 dans « Apostrophes ». Lui qui est un habitué des discours va ainsi passer très logiquement de la parole à l’écrit. Très pris par ces multiples activités, syndicales et salariées, la chaîne régionale Télé Lyon Métropole diffusera un reportage à son sujet intitulé : « Salarié le jour - Écrivain la nuit ». De 1985 à 1990 il prend une part très active comme correspondant régional du SELF (Syndicat des Écrivains de Langue Française) qui se mettra peu à peu en « semi-léthargie (B. Lambert) car, comme l’écrit Guy, il n’y pas de conscience collective de l’écrivain ». Le SELF se régénérera en 2012.

Guy est tout à la fois poète, philosophe, essayiste… et constamment habité par les démarches pour la paix dans le monde ; il devient ainsi tout naturellement « Messager de la culture de la paix pour l’UNESCO » en 2000. Il parcourt la planète en tous sens - des glaces du Spitzberg aux chutes d’Igassu - et clame partout la paix qui implique la justice et l’équité pour tous, en tant qu’elles sont les conditions d’une vie collective harmonieuse et exempte de violence.

Il en est alors pour le chant comme de la parole et de l’écrit ; chant qu’il a abandonné durant plusieurs années et qui devient vecteur de son message ; Il met ainsi son talent de chanteur lyrique au service de cette noble cause.

Guy multiplie les distinctions mais il n’est pas collectionneur et ne conserve rien, ni article de presse, ni photos. Ce qu’il explique par la trace mnésique laissée par la quasi-cécité de son enfance. Les témoignages sont nombreux et le lecteur n’a point besoin de preuves. Si Guy est universellement reconnu il n’est pas forcément en quête de reconnaissances « tangibles » ni de « validations » matérielles. Il « est » tout simplement. Même si quelquefois le regard des « autres » serait le bienvenu !

Il faut bien conclure.

Nul ne peut en douter : Guy est un homme d’engagement et de convictions.

En écrivant sa biographie il n’est pas dupe et il ironise sur le sort de son ouvrage : « Si vous n’êtes pas un homme politique connu, ni un universitaire de renom, ni un artiste ou un sportif de haut niveau adulé » … vous ne serez pas lu ! Gageons du contraire !

Au prisme de ses visions humanistes, Guy « ne peut rien voir de plus admirable dans le monde que l'homme » (Jean Pic de la Mirandole).

Il nous décrit des lendemains lointains dans son œuvre : « Quel devenir pour l’Homo sapiens à l’horizon 2120 »… car il s’agit bien d’une œuvre et non d’un simple ouvrage !

Que les enfants de nos enfants soient au rendez-vous des « horizons » de mon ami Guy ! Que Dieu fasse qu’ils construisent ensemble « un monde civilisé compatible avec les défis de l'humanité ». Guy nous met en garde : Ne dérivons pas vers un régime totalitaire post-apocalyptique comme le décrit Georges Orwell dans 1984 ; ce monde abominable où le langage n’est plus (néoparler), penser est un crime (mentocrime) et dans lequel on adule un « Big Brother » ! Ou que par le biais des facéties biotechnologiques d’un nouveau Folamour nous dérapions vers un cosmos à deux lunes, deux univers divergents, comme l’écrit Murakami dans le palimpseste d’Orwell : 1Q84. Ou encore que par des déviances transmises aux futures générations celles-ci soient, à terme, conditionnées à détester la Nature comme c’est le cas dans « Le Meilleur des mondes » d’Aldous Huxley.

Guy nous le rappelle, et l’a répété toute son existence : Soyons des veilleurs vigilants de notre Terre, respectons là d’un amour pur et inébranlable… au risque d’être bientôt seul et sans amour. Ou de ne plus être.

Mais Guy nous rassure car il faut faire confiance à l’Homme… !

Lisez de toute urgence l’œuvre de Guy car il est de ces Veilleurs et de ces Guides éternels.

Merci Monsieur Créquie.

Merci mon ami.

Jean Marie SCHNEIDER

Biologiste en Santé Humaine – Expert en Qualitologie


Hommage à l'histoire de la ville, ses activités, ses personnalités et ses habitants :

C’est à Bandol que j’ai rédigé mon ouvrage autobiographique durant l’été 2018, encouragé par Jean-Marie SCHNEIDER : d’où ma dédicace ci-dessous.

Bandol est une commune française dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Elle est née en 1715, grâce aux seigneurs De Boyer, en se séparant de sa commune mère : La Cadière.

Sur le littoral méditerranéen, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, Bandol est située à environ 45 km à l'est de Marseille et 15 km à l'ouest de Toulon, avant-dernière ville à l'ouest du littoral du Var avant d'atteindre le département des Bouches-du-Rhône.

Abri naturel connu depuis l’antiquité, le port de Bandol, avec ses 1700 anneaux, est aujourd’hui le 9ème port de Plaisance national et le 4ème port de Plaisance de la côte française Méditerranéenne. A noter le dynamisme de la SNSM (Société Nautique des Sauveteurs en Mer)

L'exportation des vins locaux (en particulier) via le port de Bandol a donné son nom à l'AOC des vins de Bandol en 1941, qui est l'une des raisons du renom de la commune. Le tourisme balnéaire (notamment au milieu du XXe siècle) est l'autre raison majeure de sa réputation.

Connue comme Capitale du Vin, Bandol est devenue en 1990 Capitale du Nautisme en Méditerranée. Au large de Bandol, on trouve encore des "dolia", tonneau de terre cuite vieux de vingt à vingt-cinq siècles... Dans l'antiquité déjà, le vin de Bandol s'exportait outre-mer.

Bandol a su développer un tourisme de qualité, grâce à sa luminosité particulière, son climat tempéré, la sauvegarde des sites naturels. La baie de Bandol est désormais l'un des plus beaux fleurons de la Côte d'Azur. C’est est une authentique station balnéaire en Méditerranée qui a su puiser dans son passé la richesse de son présent.

Bandol possède un casino depuis 1930, et a été classé station climatique par décret le 3 juillet 1923. Bandol a également une église classée monument historique depuis 1990 et un kiosque à musique bâti en 1933 par l'architecte Fleury Linossier. La population est de 7500 habitants en hiver et plus de 12000 en été. La ville de Bandol est jumelée avec la ville de Nettuno en Italie, la ville de Onex en Suisse et la ville de Wehr-Baden en Allemagne.

Ses habitants sont appelés les Bandolaises et les Bandolais.

Beaucoup de noms célèbres ont contribués à faire la renommée de Bandol bien avant certaines autres communes de la Cote d'Azur. On peut citer : RAIMU qui y vécut, et dont une rue porte son nom, Marcel PAGNOL, Aldous HUXLEY, DH LAWRENCE, BERNANOS, Marlon BRANDO, Michel SIMON, Maurice CHEVALIER, Joséphine BAKER, Achille ''ZAVATTA, Henri SALVADOR, et bien d’ autres... Qu'ils aient séjourné le temps d'une visite, ou qu'ils aient élu domicile sur le territoire de la commune une ou pendant plusieurs années''.

A noter également ces bandolais illustres à retrouver dans la page "personnalités communales ":

Le sculpteur Henri LOMBARD (1855- 1929) enterré à Bandol qui résidait dans la villa " La Tartane " située au Boulevard Victor Hugo, c'est lui qui a sculpté en 1920, le « monument aux morts » communal. (villa occupée aujourd’hui par l’atelier d’architecture de Rudy RICCIOTTI)

Joseph RAVAISOU (1865-1925), né à Bandol qui était, enseignant, éditorialiste, musicien, artiste peintre pictural et ami personnel de Paul CEZANNE, (Une galerie, rue des Ecoles, porte son nom)

André PONS de l’Hérault (1772-1853, dit Marat-Lepeletier en période révolutionnaire), commandant du fort de Bandol en 1793 (siège de Toulon) qui invita Napoléon BUONAPARTE à Bandol à manger une « bouillabaisse » et qui sauva de la guillotine 32 bandolais fédéralistes ; devenu directeur des mines de l'île d'Elbe pendant le séjour de Napoléon, puis devient Préfet de Lyon et du Rhône, ainsi que du Jura. (Une rue de Bandol porte son nom – un buste se trouve à l’Hôtel de Ville.)

Henri POUPON, originaire du village voisin du Plan du Castelet, est un des artistes et comédiens du cinématographe partenaire de RAIMU et FERNANDEL joua dans de nombreux film de Marcel PAGNOL, compositeur littéraire, résident permanent de Bandol ; Il est le personnage le plus communal de Bandol et du cinéma provençal…. ».

Récemment, lorsqu’il était joueur au RC Toulon, le célèbre rugby anglais Johnny WILKINSON, y a séjourné quelques années.

Moins connu : est le fait que Brigitte BARDOT, avant de se rendre à Saint-Tropez, avait choisi Bandol, mais les autorités locales craignant pour la tranquillité de leur ville ne facilitèrent pas sa possible acquisition d’un terrain à construire.

Bandol dispose d’une vie associative riche, dont des clubs de marche actifs, et diverses activités sportives, culturelles, artistiques.

Jean –Marie SCHNEIDER qui a rédigé la magnifique préface à mon livre outre sa qualité littéraire a su restituer la richesse de mon parcours complexe et tourmenté.

LE CAB : (cercle des auteurs bandolais), qu’il préside, est né il y a 6 ans (fin 2012); ses auteurs sous son impulsion, situent l’écriture en relation avec toutes les richesses de l’environnement, ils effectuent un travail de mémoire remarquable, et ont un souci prononcé de la transmission des valeurs de l’écriture et de la lecture à la jeunesse.

Chaque été, des rencontres littéraires d’auteurs locaux ont lieu sur le port et les badauds autochtones comme les touristes peuvent y trouver tous les genres littéraires ! En mars, le Printemps des poètes et en septembre le salon du roman policier connaissent une notoriété croissante.

Je joins le lien du cercle des auteurs bandolais vous y trouverez toutes les informations utiles et le texte fondateur de l’existence du CAB.

https://www.cercle-des-auteurs-bandolais.fr

Jean-Marie, m’ayant encouragé à écrire ce 32ème ouvrage qui est autobiographique, en retour, j’ai voulu rendre un court et modeste hommage à cette belle cité, ses activités et habitants.

L’auteur.

Copyright Guy CREQUIE

Avec la participation de Jean-Marie SCHNEIDER pour la partie historique

Ce livre : est le sujet de l’expérience de l’écrivain lyonnais que je suis : expérience totalement atypique ! ...

Quasiment aveugle à ma naissance et handicapé visuellement durant une bonne partie de mon enfance et adolescence, à 40 ans encore, je ne disposais que du CEP (certificat d‘études primaires) et d’un CAP commercial. A 57 ans, j’étais désigné Docteur Honoris Causa.

Syndicaliste interprofessionnel durant 16 ans, j’ai élargi mon engagement en devenant « Messager de la culture de la paix » de l’UNESCO.

Fait pour le chant lyrique, mais handicapé par mon handicap visuel, j’ai arrêté le chant durant 43 ans de 1965 à 2008, et suis devenu salarié d’une grande entreprise publique et syndicaliste.

Reprenant le chant en 2008, ce qui est totalement inédit = j’ai chanté pour la paix dans divers lieux de par le monde et interprété malgré tant d‘arrêt, sans entrainement, des airs lyriques parmi les plus exigeants.

Passionné par l’éducation, précurseur de certaines formations : de 1991 à 2001, puis de 1998 à 2002, détaché à temps partiel dans une Fondation, j’ai formé 350 enseignants (e) de l’agglomération lyonnaise sur des problématiques de société dont celle des violences urbaines.

Entre 1978 et 1987, chargé pour un parti politique du dialogue avec les représentants ou membres « laïcs ou religieux » des grandes religions universelles, j’ai consacré à ces dialogues un temps et une écoute reconnus par les plus grands spécialistes.

J’ai quitté en 1987 le parti pour lequel je faisais ces dialogues, celui-ci, n’ayant pas pris en considération mes efforts. Depuis je suis un penseur libre sans attache politique, mais attaché au respect des droits et devoirs humains.

De 1968 à 2016 = je me suis rendu dans une cinquantaine de pays pour y clamer la paix et les droits et devoirs humains et j’y ai connu parfois : expulsions, surveillance, balles sifflant autour de moi, chars…

De 1985 à 2000, je me suis impliqué dans l’engagement pour la reconnaissance du statut social de l’écrivain comme correspondant Rhône Alpes du syndicat des écrivains de langue française.

C’est toute mon histoire qui est contée dans ce livre.

Cordialement.

Guy CREQUIE