Ce 11 novembre 2018 a rappelé une date historique pour nos familles ensanglantées par la 1ère guerre mondiale.

Nos amis de Russie, du club de l'OISEAU BLEU m'ont demandé des aphorismes sur le Centenaire de la fin de la Première Guerre Mondiale. L'an dernier, ils étaient sur la paix.

Ils ont été lus en lange russe, je pense, à Demidov, dimanche, au musée de l'artiste humoriste Youri Nikouline, lors de la fête des aphorismes, dédiée à l'écrivain russe des aphorismes Kozma Prutkov.

Ils sont déjà traduits sur un site de traduction : Афоризмы за Мир (Светлана Пригоцкая) / Стихи.ру comme j'ai eu des poèmes traduits.

Je vous les confie, ci-dessous, à votre réflexion et je vous invite à les partager largement à travers vos réseaux.

Merci à tous d'avance et que la paix advienne !

Martine GILHARD

APHORISMES POUR LE 100ème ANNIVERSAIRE DE L’ARMISTICE 1918.


Armistice 1918 : Cessez-le-feu en vue d’un avenir de paix !

Cent ans qu’un armistice a fait croire à la paix du monde et pourtant, la 2ème guerre mondiale a eu lieu et toutes les autres guerres ici ou là : inventons la paix de l’harmonie très vite pour un monde meilleur !

Cent ans qu’un armistice fut signé : que l’armistice planétaire soit signé et vécu dans le désarmement global et la paix de l’harmonie !

« Cessez-le-feu !», avions-nous dit en ce 11 novembre 1918 comme nous pouvons le dire inlassablement !

Dix-huit millions six cent mille morts, invalides et mutilés en quatre ans de guerre féroce, il y a cent ans : et combien depuis ?

Sang versé pour la liberté des peuples opprimés, envahis, convoités : à quand le partage fraternel pour toute l’humanité ?

Armistice 1918 : croire à un monde meilleur, malgré le sang versé, les pardons à donner ; reconstruire la vie : c’était, il y a cent ans !!!

Le « poilu » restera l’homme sacrifié pour l’avenir de l’homme : étrange histoire que la nôtre !

Le « poilu » des tranchées, martyr de la guerre 1914-1918 : hommage à lui et respect !

Le « poilu », vivante image de la guerre des tranchées, restera dans nos mémoires et dans la mémoire des générations futures !

Les « poilus », nos pères, nos grands-pères, nos frères… envoyés à la boucherie immonde de la guerre, en sacrifice humain des intérêts économiques et sous l’ordre des gouvernements impliqués.

Le « poilu », petit soldat valeureux, comme tout soldat ici-bas !

Etre soldat, est-ce le bonheur à envisager pour nos enfants, nos jeunes ?

La violence de la guerre des tranchées comme de toute guerre ou terrorisme… est un abaissement de l’être humain qui ne le grandit en rien.

Composés le 4 novembre 2018 à AUBENAS (07), Centre-Ville, France,

par Martine GILHARD.