Le Tout pour trois fois Rien : L'HYPOTHESE DU TOUT, 3ème édition de Leafar IZEN.
Par Martine Gilhard, dimanche 4 novembre 2018 à 18:31 :: Les parutions :: #3261 :: rss
Le Tout pour trois fois Rien : L'HYPOTHESE DU TOUT, 3ème édition de Leafar IZEN.
De la part de Leafar IZEN.
Ce petit message pour vous signaler que la troisième édition de
L’HYPOTHESE DU TOUT
vient de paraître.
Dorénavant, ce « précis de (méta)physique » ainsi que l’anthologie de poésie
OEUVRE INCOMPLETE
sont disponibles :
- en ligne sur www.leafar-izen.com
- auprès de votre libraire habituel.
...
En vous souhaitant de belles lectures.
Amicalement
R∞ L’HYPOTHESE DU TOUT
« Nous sommes tous d'accord sur le fait que cette théorie est folle. La question qui nous divise : est-elle assez folle pour avoir une chance d'être correcte ? » (Niels Bohr)
Troisième édition.
ISBN : 9 782956410201
Sous peine d’être pris entre le marteau des nouveaux obscurantismes et l’enclume d’un matérialisme désenchanté, il est aujourd'hui nécessaire de redécouvrir une spiritualité éclairée.
L'Hypothèse du Tout, c’est partir du Tout plutôt que du rien, considérer que notre expérience du monde n’est pas un mince trait tracé sur le tableau noir du néant, mais l’un des multiples fils qui constituent la trame du Tout.
L'Hypothèse du Tout, c’est considérer que le réel est infiniment plus complexe et complet que l’effet qu’il nous fait.
Un monde agonise pour qu’un autre puisse voir le jour. Il est temps d'abattre certaines frontières entre imaginaire et « réel », vrai et faux, psychologique et physique, esprit et matière.
Nous nous mouvons dans l'espace infini des états d'âme comme des comètes, parfois asservissant nos comportements à des règles que nous avons progressivement inventées, parfois ivres d'une liberté rêvée. Il n'y a pas un réel à objectiver mais une infinité de songes toujours présents parmi lesquels il nous est peut-être donné de choisir.
Faire de beaux rêves. Tout commence par là.
OEUVRE INCOMPLETE
Première édition, tirée à 100 exemplaires.
ISBN : 978-2-9564102-1-8
Un soir de pluie et de grand vent
Une vieille toque à ma porte
Elle avait les pupilles mortes
Je lui ai ouvert, j'avais le temps
« J'ai soif depuis dix mille ans
Je veux du vin qu'on m'en apporte '' Faites taire la musique forte'' »
Je l'ai servie, j'avais le temps
Elle avait le regard en berne
Mais l'œil plus vif que les voyants
Ma maison était sa taverne
Nous avons bu, j'avais le temps
« Et maintenant, écoute bien
Ce que la vue cache aux vivants
Dieu sait si tu t'en souviens »
J'ai écouté, j'avais le temps
« Que tous les diables m'emportent
Si je te trompe en te disant :
Nous nous rêvons les uns les autres
Nul ne peut capturer le vent »
--
Leafar Izen
http://www.leafar-izen.com.
.היה לעפר ואפר
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