Vendredi 10 décembre et à GENOUILLY et Samedi 11 décembre à GIGNY/SAÔNE, en Saône-et-Loire, FRANCE : QUI SE RESSENTENT S'ASSEMBLENT ! Causerie en chanson sans chausson au pied du poème.
Par Martine Gilhard, jeudi 2 décembre 2010 à 12:36 :: Les manifestations futures :: #718 :: rss
Vendredi 10 décembre et à GENOUILLY et Samedi 11 décembre à GIGNY/SAÔNE, en Saône-et-Loire, FRANCE :
QUI SE RESSENTENT S'ASSEMBLENT ! Causerie en chanson sans chausson au pied du poème.
De la part de Diane DESCÔTEAUX du QUEBEC, CANADA.
QUI SE RESSENTENT S'ASSEMBLENT !
Causerie en chanson sans chausson au pied du poème
VENDREDI 10 DÉCEMBRE À LA SALLE 110 À GENOUILLY
19H30 : APÉRITIF ; 20H : REPAS ; 21H : SPECTACLE
16€ REPAS-SPECTACLE ; 9€ SPECTACLE SEUL
RUE MONTANTE À GENOUILLY ; RÉSERVATIONS : 03 85 49 20 53
SAMEDI 11 DÉCEMBRE AU PETIT THÉÂTRE JAUNE DE GIGNY-SUR-SAÔNE
18H : SPECTACLE ; 19H30 : DÎNER
RUE DE LA MAIRIE, COUR DE LA MAIRIE ; RÉSERVATIONS : 03 85 44 99 34
www.myspace.com/davidrougerie
affiche :
Allain Leprest
textes :
Pierre Paul Danzin & David Rougerie
musiques :
Alexandre Danzin, Pierre Paul Danzin, Vanina Michel, David Rougerie, Subido
mise en scène :
David Rougerie
Alexandre Danzin : chant, guitare, jeu & surprises sonores
Pierre Paul Danzin : chant, clarinette, jeu, guitare & surprises sonores
David Rougerie : chant, jeu & surprises sonores
Ils se sont connus à Paris-galère, difficilement mais joliment, en tout cas évidemment !...
Leurs deux écritures dès la première seconde se rencontraient déjà, par l'entremise du Roi Calembour...
Ils ont depuis quitté la capitale, là où "tout" ne se fait pas. L'un habite dans la région où son copain est né (le Limousin), l'autre a répondu au hasard de la vie après des années sur les routes (la Bourgogne).
Puisqu'ils se répondent et se retrouvent sur bien des sujets, ils s'assemblent pour respirer ensemble sur le même tréteau de bois.
Leur fraternité partagée suffisait amplement ; pourtant, ils s'octroient avec grand plaisir les services généreux d'un autre petit frère.
Que ça "triole" donc !
Car plus on est de fous, plus on se comprend.
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