THÉA MARIE ROBERT, POÈTE, de RETOUR en BRETAGNE

Lʼartiste, écrivaine voyageuse, photographe, danseuse, chorégraphe et pédagogue, alpiniste, randonneuse, native de la région de Vitré, a posé, depuis quelques mois, ses valises et ses souvenirs sur les bords de la Rance, à Saint-Suliac.

Après 30 années de pérégrinations et dʼengagements divers et multiples, avec Chamonix Mont-Blanc comme camp de base et, comme cercles de rayonnement et dʼexpression lʼAcadémie Mondiale des Arts et de la Culture qui lʼa plusieurs fois honorée avec prix et reconnaissances, Médailles dʼor, à Budapest, à Taïwan, en Israël, en Mongolie et aux USA, lʼUnesco où elle a reçu son premier prix média mondial de photographies pour lʼeau et lʼenvironnement en 1994, et lʼAcadémie Arts Sciences Lettres de Paris dont elle est Médaillée de Vermeil depuis 2008 et dʼOr depuis 2017, Théa Marie ROBERT revient à la contemplation de sa terre natale, et à la source dʼinspiration dʼun horizon mouvant et émouvant... après avoir expérimenté et exprimé la verticalité des cimes et sommets, lʼexigence et lʼeffort liés à la fréquentation des montagnes... Elle revient à la pratique de la marche méditative et créative au long des rivages escarpés de la Côte dʼÉmeraude et espère bientôt mettre les voiles pour de nouveaux voyages dʼinspiration maritime cette fois. Toute son oeuvre, atypique, se résume en un mot lʼART COSMOPOÉTHIQUE quʼelle a fondé et exprimé depuis 1988 : Poésie qui relie à la nature, au cosmos et à soi, à lʼÊTRE, quʼelle soit Poésie du geste, Poésie de lʼimage ou Poésie du mot, de la parole dite, chantée, partagée.

Au fil des années et des opportunités, des péripéties de lʼauteure, cette oeuvre sʼest écrite et déclinée en spectacles, livres, expositions, conférences, rencontres, participations à des festivals, voyages.

Lʼalpiniste randonneuse a aussi réalisé et concrétisé de nombreux défis personnels dans un esprit humanitaire et solidaire :

- gravissant des Sommets pour la Paix, le Mont-Blanc en 1990 et 1994 - Le Qornet es Saouda au Liban en 1998 - le Mont-Fuji au Japon en 2010

- entreprenant sous lʼégide de lʼUnesco des voyages à la rencontre des populations en souffrance, femmes bafouées dans leur dignité et enfants en détresse, en Croatie et Bosnie, dans les camps de réfugiés de Zagreb et à Sarajevo ville assiégée en 1994 et 1995 pendant la guerre dʼEx-Yougoslavie.

- sʼengageant dans une longue marche de 2500 kms en lʼan 2000 entre Paris - Le Mont Saint Michel - Saint Jacques de Compostelle - Avignon, pour parler de la Culture de la Paix, marche réalisée en solitaire mais en solidarité avec la Marche Mondiale des Femmes contre les violences et la pauvreté.

Créatrice Pionnière, elle invente et concrétise le spectacle Escaladanse Elans en 1988 pour célébrer lʼouverture de LʼEurope comme espace de paix. Elle le présente à Chamonix en clôture du Premier Sommet Européen des Alpinistes. Harmonisant la danse avec lʼescalade, dans les plans horizontaux et verticaux, elle fait danser dans ce spectacle exceptionnel jamais reproduit, des guides de la prestigieuse Compagnie des guides de Chamonix et des militaires de la non moins prestigieuse Ecole Militaire de Haute Montagne de la capitale mondiale du ski et de lʼalpinisme.

Elle initie le premier festival « Poètes aux sommets » en 2008, la poésie prenant de lʼaltitude pour se dire en des lieux mythiques, sur les cimes comme lʼAiguille du Midi à 3842 m et dans les vallées comme celle de la Mer de Glace.

Elle imagine lʼAmbassade de lʼEau en 1999, soutenue par M. Boutros Boutros Ghali, décédé depuis, après avoir été Secrétaire Général des Nations-Unies, et de la francophonie, dans le but de sensibiliser, avec son regard photographique trois fois primé, à la question de lʼeau source de vie et de vitalité pour toute lʼhumanité, facteur de paix ou de guerres. Car lʼeau, accès à la ressource et qualité de cette ressource, sera le problème majeur de lʼhumanité au XXI ème siècle. La première exposition se tient au Palais des Nations à Genève en 2002.

Théa Marie ROBERT parle donc de bon sens pour survivre, dʼune « écologie spirituelle » faite de prises de conscience individuelles et de choix collectifs, du respect de la terre-matrice-créatrice et non de lʼexaltation des prétentions guerrières dʼune culture inventée par des rivalités entre frères.

Elle est encore lʼauteure compositrice de lʼHYMNE « Levons-nous pour la paix, peuples de la terre » dont elle a écrit paroles et mélodie en 2009. Cet hymne répond à la Marseillaise : cʼest un hymne de paix de dʼévolutions et non plus un hymne de guerre et de révolutions. Elle a, entre autres lieux, chanté cet hymne en japonais en 2010, à Hiroshima et à Nagasaki, accompagnée par une chorale de femmes japonaises, toutes rescapées du désastre de la bombe atomique de 1945, et en 2011 dans lʼéglise de CHAMONIX Mt Blanc, accompagnée par la Chorale du Prieuré et le choeur dʼenfants de lʼécole des Bossons.

Son dernier ouvrage « lʼUltime Passage » paraîtra fin 2019 et sera sans doute publié en Inde avant de lʼêtre en France.

Théa Marie ROBERT a récemment participé à quelques évènements bretons dans la région de la Côte dʼEmeraude :

- le 22 Juin 2019 - à la Fête de la Saint Jean à Saint Suliac - elle improvise une « danse de la flamme » occasion bénie pour elle de faire encore une fois danser sa robe rouge de poète.

- le 1er Juillet 2019 : Matin poétique à lʼinvitation de lʼécole maternelle de Bellevue à Saint Malo, une rencontre animation pour les tous petits de 3 à 5 ans

- le 6 juillet 2019 : Participation à la scène poétique ouverte lors du festival de la Presquʼîle à Saint-Jacut de la Mer

Sa robe rouge, symbole de sa poésie et de sa vitalité créative depuis 1989 et le premier festival où Théa Marie lʼa créée et lʼa fait danser dans ses spectacles « Aimer au-delà de tout » et « Incarnate » en Avignon, pourrait raconter ses aventures, toute son histoire dans un livre... à écrire !

Symbole au coeur de toutes ses créations semées dans le monde çà et là, dans des lieux mythiques, des villes et pays symboles, comme un lien dʼhumanité et de vitalité, voir de guérison du coeur, cette robe rappelle le regard à lʼénergie de la vie elle-même pour sa réparation, la dignité, le respect, et la valorisation non des égos mais de la vie comme principe essentiel, primordial et richesse de la planète.

Elle a transmis son message à Hiroshima, Nagasaki, Sarajevo, Jérusalem, Avignon, Paris, en Europe, au Pérou, Algérie, Liban, Jordanie, Israël, Japon, Mexique, Cuba, USA, Mongolie... en Chine en 2018 et le transmettra en Inde en Octobre et Novembre 2019 pour le 150ème anniversaire de la naissance du Mahatma Gandhi.

À 70 ans, la créatrice, inclassable, infatigable, nommée Messagère de la CULTURE DE LA PAIX à lʼUnesco en lʼan 2000, Ambassadrice Universelle de la Paix à Genève en 2005, nommée Muse dʼHarmonie en 2010 par le réseau GHA ( réseau dʼintellectuels et artistes pour la paix présidé par Leo Semaskho, professeur et scientifique russe ), poursuit humblement son chemin sur la planète, avec son énergie, ses convictions et son courage, avec confiance, pour semer dans les coeurs des graines écologiques de beauté, de paix par la poésie, lʼéducation, lʼart, la culture.

Son projet actuel est de chercher, et de trouver près de la mer, un lieu de sérénité pour y continuer sa vie, un lieu adéquat pour y créer une « maison de paix et dʼharmonie », afin dʼoffrir enfin une visibilité à une vie de FEMME engagée, nomade par essence, et à son oeuvre à multiples facettes, un lieu pour y transmettre des valeurs humaines, spirituelles, utiles et fondamentales, profondément nécessaires à la société aujourdʼhui, et pour y écrire en toute quiétude de nouveaux livres témoignant de ses rencontres humaines, si vivantes dʼespoirs et de sens partagés.