Parution du onzième recueil de Pierre GOLDIN aux Editions L’Harmattan

Petit rappel :

En 2015, parution de « De la vie approximative » ; petit extrait de la 4° de couverture :

"Peut-être tu sauras ô combien j’ai rêvé l’espace sans limite et le corps ubiquiste ; et c’est pourquoi la vie, aux normes de nos heures, ne saurait être qu’approximative…Vivre ? Ou bien plutôt se sentir vivre ? Ce qui me peine, serait-ce ce sentiment d’impuissance à définir ce qui nous porte et nous emporte, un peu comme s’interrogerait l’oiseau sur la nature du vent qui le soulève ?...

En 2016, parution de « A propos du nombre d’or, enquête dans un cercle d’intimes », avec ce petit extrait de la 4° :

« Parler de l’art en ces temps de désespérance et de brutalité peut paraître hors de propos, mais c’est justement parce qu’une telle réflexion est à contre-courant qu’elle est impérative. Parler de l’art, non pas d’un art plutôt que d’un autre, mais du but commun qui les fait vivre, les lie - et les relie à l’écriture : la recherche de la perfection, la forme idéale pour une pensée plus pure… »

En 2017, parution de « De l’excellence du jardin, ou comment espérer tutoyer le soleil », petit extrait de la 4° :

« Je vous écris de mon jardin, en Magnésie, assis à l’ombre sous les arbres…Mais ce n’est pas une retraite.

Bien sûr, je peux être tenté par la tranquillité du refuge, alors qu’autour de nous le monde semble se défaire de ses apparences de solidité.

En vérité, plutôt qu’un asile, je veux trouver dans le contact étroit avec une nature où je me plonge, des raisons de croire encore à des jours paisibles. Je ne reviens pas à des choses simples, je ne les ai jamais perdues de vue… » __ Ces trois recueils, comme les huit précédents, sont tous publiés aux Editions L’Harmattan.__