21 MARS ! = journée internationale des Nations Unies contre toutes les formes de racisme et d’antisémitisme et contre toutes les discriminations :

POEME d’UN HUMAIN AUX AUTRES HUMAINS !


Quelle que puisse être sa nationalité

Son sexe



La couleur de sa peau

L’aspect de ses cheveux

La forme et la couleur de ses yeux



Sa confession et, ou philosophie

Encourageons-la,

Encourageons-le,



Encourageons-les,

A être toujours plus humain

Avec une empathie et une spiritualité élevées

Un sens et souci de la nécessité

Un respect inaliénable des droits et devoirs humains

Au service de l’humanité notre Aînée et destinée




Pour une planète terre d’harmonie et de paix

Laissée en héritage aux générations futures.



Copyright Guy CREQUIE

Ecrivain français à finalité philosophique



Blog http://guycrequie.blogspot.com


Que des personnes puissent encore être tuées de sang- froid au XXI e siècle, ceci à cause de leur confession, ethnie, couleur de peau,

appartenance à un continent, ceci, alors que nous sommes entrés de plein pied dans le IIIe millénaire, interpelle ma conscience !

Le combat contre l’antisémitisme comme celui contre toutes les formes de racisme et de xénophobie, ceci, alors qu’il n’existe pas de race au sens scientifique, rappel ci-dessous, demande, à ce que encore : j’apporte ma modeste contribution à cet enjeu de société : ceci, car c’est de vies dont il s’agit !


Chaleureusement.

Guy CREQUIE

Rappel, ci-dessous, d’un texte précédemment élaboré :

A PROPOS DE LA PROBLEMATIQUE DE LA OU DES RACES HUMAINES ?




Pour répondre à la question, il faudrait déjà définir correctement le terme de « race humaine ».

En termes de classification des espèces, l'espèce est la dernière classification et il n'existe qu'une seule espèce humaine, l'homo sapiens. Le terme « race » n'a donc pas de sens strictement scientifique.

Le terme « race » ne s'applique normalement qu'aux espèces domestiques, pour faire une différenciation fine, basée sur des critères morphologiques. C'est ainsi qu'on distingue le labrador du berger allemand sur des critères morphologiques. Mais cette distinction est totalement artificielle, due à la sélection forcée par les éleveurs au cours des siècles pour mettre en avant telle ou telle caractéristique morphologique particulière. Des « races » de chats ont ainsi été créées par des croisements judicieux en grand nombre durant le dernier siècle.

De même, on peut distinguer des « races » humaines sur des critères morphologiques. Les USA reconnaissent ainsi tout à fait officiellement le terme de « race » pour définir ethniquement leur population sauf qu'il appartient à chacun de définir lui-même à quelle « race » il se sent appartenir.

Issu d'une mère blanche et d'un père kenyan, Barack OBAMA se définit lui-même comme « afro-américain » mais s'il s'était défini comme « blanc » du fait que sa mère est blanche et de nationalité américaine, ça ne lui aurait pas été contesté d'un point de vue strictement administratif.

Néanmoins, cette classification reste une vue de l'esprit, sur des critères purement morphologiques. On a choisi de mettre en avant la couleur de la peau parce qu'à une époque, elle était représentative d'une répartition spatiale. Mais on aurait pu choisir d'autres critères : la « race » des blonds différente de la « race » des bruns. Une « race » pour les yeux bleus et une autre pour les yeux marron.

Il n'y a aucune différence à définir une « race » sur la couleur de la peau ou sur la couleur des yeux, scientifiquement parlant.

Bref, on peut utiliser le terme « race » pour définir ethniquement une population. Il appartient alors à la sociologie de définir quel découpage est pertinent pour quel but, tout en se rappelant que cela n'a pas d'autres réalités que sociologique.

Egalement : pour répondre à une amie, lorsque des jeunes fils d'immigrés lorsque cela est le cas, comme d’autres non issus de l’immigration, ne respectent pas les règles du pays d'accueil : France ou autre, ceci, ne provient pas d'une incapacité inscrite par nature dans leurs gènes, ni de la réalité d'une race qui ne s'adapterait pas, mais c'est un problème d'éducation parentale, une responsabilité du système scolaire à leur apprendre la langue et l'histoire du pays, et au pays lui-même, dans sa responsabilité étatique, à leur apprendre à respecter ses règles juridiques, sociales, et ce : de la commune à L'Etat central. De même et hélas, le libellé du nom, le faciès, la couleur de la peau, l’intonation de la voix sont encore parfois (et trop) par des décideurs, des critères discriminant pour l’accès de certains jeunes et parfois des adultes à la formation, à l’emploi, au logement, etc. Et cela : est insupportable et inacceptable !

Copyright Guy CREQUIE

Ecrivain français à finalité philosophique.