ALBUM D’AIRS D’OPERA

Réalisé sous le label Sepia Records et distribué par BMG-SONY,

l’album « MARIO LANZA Greatest Operatic Recordings »

sera disponible sur Amazon et via d’autres réseaux

à partir du 9 février 2015


Contenu :

1. Von Flotow : Martha. M’apparì

2. Mozart : Così fan tutte. E voi ridete

3. R. Strauss : Der Rosenkavalier. Di rigori armato

4. Puccini : La bohème. Che gelida manina

5. Puccini : Tosca. Recondita armonia

6. Puccini : Tosca. E lucevan le stelle

7. Puccini : Madama Butterfly. Vogliatemi bene Live performance

8. Puccini : Turandot. Nessun dorma Live performance

9. Cilea : L’Arlesiana. È la solita storia (Lamento di Federico) Live performance

10. Verdi : Rigoletto. È il sol dell’anima…Addio! Addio ! Live performance

11. Mascagni : Cavalleria rusticana. Mamma, quel vino è generoso (Addio alla Madre)

12. Leoncavallo : Pagliacci. Vesti la giubba

13. Giordano : Andrea Chénier. Un dì all’azzurro spazio (Improvviso)

14. Giordano : Andrea Chénier. Come un bel dì di maggio

15. Giordano : Fedora. Amor ti vieta

16. Meyerbeer : L’Africana. O paradiso

17. Verdi : Otello. Dio ti giocondi

18. Verdi : Otello. Dio! Mi potevi scagliar (Monologue)

19. Verdi : Otello. Niun mi tema (Death of Otello)

Remarques :

Le long et captivant duo du 3ème acte d’OtelloDio ti giocondi o sposo” (piste 17) n’est pas ici la version RCA que vous connaissez probablement déjà, avec la grande Licia Albanese, mais un autre enregistrement réalisé quatre mois auparavant avec la soprano Gloria Boh, une élève du maestro Giacomo Spadoni qui était le coach de Mario Lanza et qui fut aussi celui de Caruso au Met. Pour aussi grand que soit Mario Lanza dans l’enregistrement réalisé avec Albanese, il est meilleur ici : plus musical, vocalement plus resplendissant, et encore plus terrifiant dans la rage déchaînée du Maure tourmenté qui frise la folie. Cette prouesse vocale donne le frisson. Elle est une nouvelle fois la preuve de son immense et incomparable talent.

Après le maestro Koussevitsky qui le découvrit en 1941 et déclarait stupéfait: « Ce garçon a une voix de celles que l’on entend qu’une fois par siècle », Toscanini fut l’un des premiers à être ébloui par le jeune ténor qu’il proclamait « Voix du siècle » tout en ajoutant :

« On a l’impression que Verdi et Puccini ont composé leurs opéras spécialement pour Mario Lanza ». L’impact sidérant que Mario Lanza, mort à seulement 38 ans, a laissé sur des générations de chanteurs d’opéra, est unique : Schipa, Callas, Tebaldi, Bergonzi, Moffo, Pavarotti, Albanese, Corelli, Kraus, Monserrat Caballé, Carreras, Domingo, Alagna, Fleming, Frangoulis, Calleja…. Tous l’admiraient pour son extraordinaire voix, la poésie qu’il mettait dans son chant, et son charisme.

Plus de 50 ans après sa mort, comme l’avait prédit le baryton Lawrence Tibbett, d’éminents Critiques musicaux, tels William Park qui le redécouvre et classe l’enregistrement d’André Chénier par Lanza : « Un di all’azzurro spazio » (piste 13), en tête des meilleurs) ; Matthew Boyden (auteur du livre Icons of Opera) : « Mario Lanza défia les conventions et les préjugés qui régnaient à l’opéra avec une hardiesse et un talent sans précédent », et Clyde T. McCants (auteur en 2004 d’un ouvrage qui fait autorité : « American Opera Singers and their Recordings »), pour ne citer qu’eux, militent en faveur d’une réévaluation urgente du legs faramineux de Mario Lanza.

De nombreux internautes, qui eux ne l’ont jamais oublié, nous adressent régulièrement des messages du monde entier et dont voici le tout dernier (de France, celui-ci): « Merci pour votre entreprise de faire perdurer l’immense talent de Mario Lanza et de son incomparable voix, d’une beauté tout à fait exceptionnelle, pleine d’émotion et d’éclat. Quand on écoute Mario Lanza au moins une fois, on ne peut l’oublier. La première fois j’avais 10 ans… et il est toujours présent dans ma mémoire ! »

Pour en savoir plus sur Mario LANZA :

www.operaclubdeparis-mariolanza.fr.