Poèmes pour la fête des mères de plusieurs ambassadeurs internationaux de paix : Manuel Salvador Leyva MARTINEZ du Mexique, Yudit Vidal FAIFE de CUBA, Serge H.MOÏSE, Carlos M. Valenzueal QUINTENAR du Mexique, Martine GILHARD de France.
Par Martine Gilhard, samedi 9 juin 2012 à 01:03 :: Le coin poésie :: #1023 :: rss
Poèmes pour la fête des mères de plusieurs ambassadeurs internationaux de paix :
Manuel Salvador Leyva MARTINEZ du Mexique, Yudit Vidal FAIFE de CUBA, Serge H.MOÏSE,
Carlos M. Valenzueal QUINTENAR du Mexique, Martine GILHARD de France.
De la part du Cercle Universel des Ambassadeurs de Paix SUISSE/FRANCE.
De notre ambassadeur Manuel Salvador Leyva Martínez du MEXIQUE.
DÉESSE UNIVERSELLE
Femme, mot sublime, adoration de la vie
bénédiction que nous redimes avec sa tendresse infinie,
je t'admire par ta douceur divine et inépuisable
et par la lumière diamantine qui dans ton regard s'anime.
Parce que tu es l'inspiration fleurie la plus parfaite
dans la chanson du poète, dont l'hommage subsiste
sur le temps et la distance, comme une étoile fulgurante
C'est une certitude ferveur de sa passion préférée.
Femme, sans toi n'existerait pas la beauté terrestre
parce que tu es le printemps et le prodige de la vie
que l'homme est avide d'une illusion amoureuse
Et à la fin je peux comprendre que par toi il y a l'éternité
s'il nous manquait ton être, il n'y aurait pas de bonheur
et Dieu t'a fait femme pour renaître en Déesse.
De notre ambassadrice Yudit Vidal Faife de CUBA.
L'orateur (chef de psychiatrie à Stanford) a dit, entre autres, qu'une des meilleures choses qu'un homme peut faire pour sa santé est de se marier avec une femme, tandis que pour une femme, une des meilleures choses quelle peut faire pour sa santé est de cultiver sa relation avec ses amis. Au principe, tout le monde a ri, mais il parlait sérieusement.
Les femmes se relient entre elles de manière différente et elles fournissent des systèmes d'appui qui les aident à combattre avec l'effort et les expériences difficiles de la vie. Physiquement, cette qualité " temps pour les amies" nous aide à fabriquer davantage de sérénité - un neuro-transmetteur qui aide à combattre la dépression et peut produire une sensation générale de bien-être. Les femmes partagent leurs sentiments, tandis que les hommes se rencontrent souvent autour d'activités. Ils s'asseyent rarement avec un ami pour parler comment ils sont convenus sur toute chose, ou comment va leur vie personnelle. Travail ? Oui. Sports ? Oui. Voitures ? Oui. Pêche, chasse, golf ? Oui. Mais ses sentiments ? Très peu quelques fois. Par contre les femmes le font tout le temps, produisent de la Serénité et par conséquent du Bien - être. Quand ils parleront, quand ils partageront des sentiments, ils libèreront le stress. Les femmes partagent depuis l'âme, et évidemment, c' est très bon pour leur santé. L'orateur a dit : Consacrer du temps avec un ami est tellement important pour notre santé générale comme le sport ou d'aller au gymnase ". Il y a une tendance à penser que quand nous serons "en faisant de l'exercice", nous faisons quelque chose de bon pour notre corps, mais quand nous parlons avec nos amis, c'est rénovant. De fait, le DR a dit : " Ne pas créer et ne pas maintenir de relations personnelles de qualité, avec d'autres êtres humains, c' est tellement nuisible pour notre santé physique comme fumer". Par conséquent, chaque fois que nous nous asseyons pour causer avec notre ami, nous faisons le meilleur pour notre santé ! ! ! ! Que Vivent les " cafés", les " tecitos", et le " vin" avec les amis ! !
William Shakespeare disait : Toujours je m'assieds-Heureux, sais - tu pourquoi ? Parce que je n'attends rien de personne. Attendre toujours endommage. La vie est courte, c'est pourquoi aime la vie, sois heureux et souris toujours, seulement vis pour toi et rappelle-toi : Avant de Parler, Écoute ; Avant d'Écrire, Pense ; Avant de Blesser, Convient ; Avant de Haïr, Aime ; Avant de Rapporter, Essaye ! ! ! ; Avant de Mourir, VIS ! ! !
« Petit Garçon »
Un tout petit enfant
Demande à sa maman
Qui crochetait la dentelle
Pourquoi elle est si belle
II
C’est l’œuvre de Dieu
Le fixant dans les yeux
Lui répondit celle-ci
En lui disant merci
III
Elle est gentille cette dame
De te faire si belle femme
Et puis d’être ma maman
Renchérit-il très confiant
IV
Toute heureuse elle a souri
Et a évidemment rougi
D’amour et de bonheur
Admirant son petit cœur
V
Pour ce p’tit cœur aimant
Tout ce qui est beau et grand
Sous le beau firmament
Est l’œuvre d’une maman
VI
Plus tard dans la vie
Quand il aura grandi
Il découvrira les roses
Et étudiera autre chose
VII
Il sera un peu déçu
De l’enseignement reçu
Qu’il lui faudra apprendre
Sans chercher à comprendre
VIII
Il mènera rondement sa vie
Puisqu’il aura bien grandi
Toujours en chérissant
Son adorable petite maman
Serge H. Moïse
De notre ambassadeur Carlos M. Valenzuela Quintanardu MEXIQUE.
Les mères sont des fleurs multicolores, …
Elles parfument la vie et elles inondent les sens avec leur arôme.
Elles sont intenses et sont lisses.
Elles sont fermes et elles sont des complices.
Brillantes en illuminant les chemins avec des roucoulements
qui embrassent toujours nos rêves de caresses tièdes.
Elles sont des êtres uniques et elles guident nos pas.
elles sont proches…, et cela, les rend réelles
et en même temps elles sont des êtres d'une autre Dimension.
De notre ambassadrice Martine GILHARD de France.
en souvenir de sa maman disparue récemment
toutes nos pensées dans cette épreuve.
MAMAN.
Maman était très belle,
Me manquera toujours.
Je me souviendrai d'elle,
Très souvent dans mes jours.
Je l'aimais comme on aime
Un enfant, sa maman.
Elle avait sans blasphème
Su se garder vraiment.
Elle était sans pareille,
Unique, au cœur joyeux.
Et comme une humble abeille,
Son miel fut savoureux.
Elle était douce et tendre,
Chantait et tricotait.
Elle savait attendre,
Et très peu papotait.
Elle avait de l'aisance,
Ce doux charme d'antan,
Sans une complaisance,
Libre et l'air tout content.
Je l'aimais comme on aime
Un enfant, sa maman.
Elle était un poème.
Elle était simplement.
Je la voyais si frêle
En ces moments derniers.
Je la sentais rebelle
En ses élans premiers.
Elle était calme et forte,
N'était jamais tourment.
Et bien qu'elle soit morte,
Son être est tout aimant.
Il a franchi l'espace,
Rejoint le Dieu d'Amour.
Seul, son corps a sa place
Au tombeau sans humour.
Elle est dans une extase.
Elle est avec Jésus.
Dans son ultime phase,
Enfin, elle L'a vu.
Rendons à notre Maître
Toute grâce et tout bien !
Dans l'unité de l'Être,
Maman est un doux lien.
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